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Film en sélection 2025

Fabrice Ceccherini 
Président du festival

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Stalker

Plongez dans l’Univers du Fantastique !
Le 9e Festival International du Film Fantastique de Menton
vous ouvre ses portes

23 au 26 octobre 2025 — 9e édition ouverte au public
🎬 Films cultes, avant-premières et invités de prestige

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Stalker
( 18 mn - 2024)
 

En compétition

Réalisé par David Cholewa

 

Avec

avec Sandra Hohenadel

Sujet :

Après une violente agression lors d’une soirée, une jeune femme prend la fuite. Alors qu’elle rentre chez elle à pied, par une nuit parisienne sombre et menaçante, elle ne peut se défaire de l’impression d’être suivie. À mesure qu’elle approche de son domicile, cette présence devient de plus en plus audacieuse et agressive. Ce n’est qu’en affrontant ses peurs les plus profondes qu’elle pourra survivre à cette menace inquiétante.

Stalker est né de la nécessité de faire face à mes propres angoisses et aux vertiges liés aux traumatismes de l’enfance.
Depuis plusieurs années, j’avais l’ambition de réaliser un film réaliste, stylisé et effrayant. L’idée d’aborder un thème universellement terrifiant à travers la figure mystérieuse du harceleur (Stalker) s’est imposée naturellement.
Que se passe-t-il lorsqu’on se sent différent dans une société individualiste, où la méfiance et la peur de l’autre sont devenues quotidiennes ?
Le personnage de cette jeune femme suivie par une entité abstraite, qui incarne tous les harceleurs et agresseurs de rue, est né de cette question à la fois éthique, philosophique et potentiellement tragicomique.
Ce sentiment d’anxiété dès que l’on quitte sa bulle de sécurité, son havre de paix, est profondément ancré dans une réalité qui nous concerne tous — mais surtout les femmes.
Cette peur peut engendrer une paranoïa exacerbée, jusqu’à basculer dans l’hallucination.
C’est précisément ce que j’ai voulu explorer dans STALKER.

David Cholewa

Réalisateur

David Cholewaest  un réalisateur français basé à Paris.
Jusqu’en 2016,il a dirigé une société internationale de distribution et de vente de films.
En 2012, David a produit et réalisé un long métrage intitulé Dead Shadows, distribué dans 25 pays.
En Amérique du Nord, Dead Shadows a été édité par SHOUT!FACTORY.
 

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Produced by

Laurie Cholewa, Hadrien Meril
, David Cholewa, Rémy Gente
Story by

Rémy Gente & David Cholewa
Cinematography by

Amar Ioudarene &
David Cholewa
Editing by

Rémy Gente
Music by

Aleksandria Migova
Sound Design & Audio Mix : Team Catz Production , Mickael Noiret
VFX supervisor :

Hadrien Meril ( Navet
Studio )
VFX ARTISTS :

Rémy Gente, Thierry Ardillier
, Philipp Schoenberger
VFX ANIMATOR :

Jérémie VIDAL-MADJAR &
Hadrien Meril ( Navet Studio)
Texturing artist : Taylor Jeken
Rendering artist : Viduttam Katkar
Creature design : Andrea Tarroni
Colorist Miguel Mendez

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Dès le début de mon processus créatif, je me donne toujours la liberté de puiser instinctivement dans plusieurs genres cinématographiques qui m’habitent et m’inspirent.
J’aime jouer avec les codes et les langages propres à chaque genre, en les utilisant comme de précieux outils narratifs pour déjouer les attentes — les miennes comme celles du spectateur.
Cette démarche me permet également de façonner un univers personnel, que je souhaite généreux et libéré des contraintes, sans l’enfermer dans une catégorie unique.
Développé avec cette volonté de liberté formelle et créative, l’univers de STALKER navigue entre le film de genre, le récit initiatique et le thriller.
Mais surtout, il me permet de surprendre le spectateur en l’entraînant d’abord dans une direction, propre à un genre, pour mieux le dérouter ensuite en changeant radicalement de ton et d’univers en cours de route.
J’ai un goût particulier pour le mélange des genres.

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J’ai également abordé la réalisation du film dans une logique de continuité avec ma démarche artistique, à travers laquelle je cherche à créer une expérience cinématographique envoûtante, toujours centrée sur les personnages.
Mon univers visuel est minimaliste, texturé et précis, et ma mise en scène se veut à la fois intime et ample, prenant le temps d’installer une ambiance à la manière des films de John Carpenter, qui excellaient dans l’art de mettre en scène la peur et l’horreur.
L’atmosphère devient de plus en plus oppressante, le cadrage est rigoureux, la caméra élégante, et les mouvements ne sont jamais gratuits.
La mise en scène vise à renforcer la sensation d’étouffement et de claustrophobie.
L’association de tous ces éléments constitue l’ADN même de mon film.

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